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"la révélation de l'essentiel"
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"Le Contact le dialogue
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LE KARMAl
Dans l'évolution des êtres de lumière
d'incarnation en incarnation,
des plans de vie sont décidés,
parfois perdurant sur plusieurs incarnations.
Ce sont les karmas.
Ces plans de vie établissent les règles
que suivra une existence
par sa dépendance, sa programmation
à la réception et à l’utilisation
de certaines énergies.
Il s’agit de programmer la dépendance
vis-à-vis de certaines énergies
(traduisant : aptitude, indifférence
rejet ou contre-indication).
Ces plans de vie sont en fait
des constantes de régulation
relatives tant au contexte
de l’être physique
qu’à celui de l’être de lumière.
Une double programmation énergétique existe
traduisant la dépendance
tant, pour l’être physique,
aux conditions héréditaires physiques
que, pour l’être de lumière,
aux choix établis par lui
concernant son évolution
et sa manière d’être
pour agir au mieux.
Cette double programmation énergétique
est effectuée par l’intermédiaire de chakras,
organes immatériels récepteurs d’énergies,
agencés, réglés par les âmes guides
pour assurer une sélection particulière
de certaines énergies spécifiques
et ce très précisément.
Un double réseau de chakras est ainsi constitué.
Les ordres organisationnels,
portés par les énergies créatrices de vie
ainsi sélectionnées,
se traduisent
tant pour l’être physique
(dans les gènes, l’ADN,
qui sont écriture active de cette construction)
que pour l’être de lumière.
La programmation de l’être physique
ne fait, en fait, que traduire son hérédité,
dans sa dépendance énergétique,
à sa lignée, son groupe, son contexte, son lieu…
Elle perdure et se modifie
au hasard des croisements,
des conditions et des acquisitions,
ne comportant que d’infimes portions
laissées aux décisions personnelles
Tandis que la programmation
de l’être de lumière
est tout entière créée par lui, définie par lui
et seulement infléchie
par les circonstances de chaque incarnation.
Il s’agit d’une ligne personnelle d’évolution
établie par l’être de lumière concerné.
L’organisation des chakras de l’être de lumière
perdure en fonction de ces propres choix
éventuellement sur plusieurs incarnations.
Chaque être de lumière perdure
au fur et à mesure de ses incarnations
dans le même groupe d’âmes guides.
À ceci près, que l’évolution des âmes guides
et les appartenances à de grands groupes
d’éléments de la Création
viennent un tant soit peu
contrarier cette permanence.
Mais il reste toujours une certaine permanence
dans chaque groupe d’âmes guides
ayant en charge les être de lumière ;
le but de cette permanence
est d’aider les êtres de lumières
dans le choix des orientations personnelles
de plans d’évolution et d’affiliation
en décidant de s’associer à tel être
en cours de gestation.
Mais c'est l’être de lumière et lui seul
qui décide tant des contraintes physiques
de son incarnation
et donc du choix
de son affiliation dans un être
plutôt que dans un autre,
que de sa propre évolution.
Il organise ainsi, lui-même, la complémentarité
entre ses intentions d’évolution propre
et les contraintes physiques
de l’être envisagé
comme support d’incarnation,
avec l’assistance et le conseil
du groupe d’âmes guides
auquel il appartient.
Il s’agit d’un double choix,
à la fois celui du karma
et celui de l’affiliation
correspondante à la vie à mener en l’être choisi.
Pour permettre à l’être de lumière
de choisir, en pleine connaissance,
à la fois son karma
et l’être en gestation
le mieux adapté à ses intentions
pour s’y incarner
les âmes guides proposent et montrent
à l’être de lumière intéressé
différentes possibilités d’incarnation.
Ce temps de réflexion et de choix
correspond à ce que nous appelons, nous,
l’affiliation.
Avant incarnation,
cette connaissance des contraintes,
des conditions, des circonstances
permet de choisir intentionnellement
l’existence correspondant le mieux
au plan karmique établi,
pour l’évolution de l’être de lumière concerné.
Ce choix de l’être de lumière
est généralement effectué pour aboutir
soit à une création de meilleure capacité,
de meilleure compétence,
de conseil, d’aide ;
soit à une utilisation de ses propres capacités
afin de convaincre, aider, conseiller,
soit mieux encore,
pour pouvoir s’organiser
à faire les deux en même temps.
Chaque être de lumière
choisit ses conditions d’existence
et donc d’évolution.
Il ne s’agit pas pour l’être de lumière
d’une évolution correspondant pour lui
à la compréhension
de l’utilité de s’unir en Dieu
car les êtres de lumière sont créatures divines.
L’évolution des êtres de lumière
correspond à l’accroissement
de leurs possibilités de convaincre
les êtres physiques associés
de l’utilité, pour ces derniers,
de s’unir en Dieu.
Il s’agit donc de bien comprendre
que l’incarnation en des êtres physiques associés
est à la fois une source de perfectionnement
des êtres de lumière
et une manière de conseiller,
de guider, les êtres physiques.
Mais ce perfectionnement ne s’établit
que dans le but de mieux conseiller, guider.
Le comportement des êtres de lumière,
leur attitude, est donc de vouloir s’incarner
dans des conditions pouvant leur amener
perfectionnement en ce sens.
Toute incarnation
n’est pour les êtres de lumière
que circonstance,
que moyen pour agir,
afin de convaincre l’être physique associé
de l’utilité de vouloir s’unir en Dieu.
La décision d’affiliation
pour un être de lumière
est la volonté de se joindre
à un être physique
en connaissance et acceptation
des contraintes, des conditions
et des circonstances de cette vie ;
décision complétée
par la définition de ses propres contraintes
correspondant
à son choix intentionnel d’action.
Il s’agit d’une décision,
portant sur des caractéristiques de vie
et donc d’un choix devant faire appel
à certaines énergies,
plutôt qu’à d’autres,
pour créer les circonstances
d’un mode vie
répondant aux caractéristiques karmiques
découlant du choix de l’être de lumière.
Les karmas sont la sélection, le choix,
d’un type d’existence, de comportement.
Les différents types d’énergie instituent
différents modes de vie.
Les énergies utilisées sont différentes
selon chaque personne,
selon chaque karma.
Les énergies régulées sont différentes
selon que le karma est à subir
ou à « surmonter ».
Mais aucun type d’énergie ne correspond
à un karma à subir ou à « surmonter ».
La sélection des énergies
correspond simplement au moyen de créer
un type d’existence, de comportement.
La différence entre karma à subir
ou karma à « surmonter » est sans intérêt
par rapport à l’évolution de l’être de lumière,
mais cette notion est à bien comprendre
pour tout être physique.
Car ses conditions d’évolution
sont alors bien différentes.
Il faut donc aborder cette notion
comme utile à être comprise
mais seulement pour les êtres physiques.
Il faut donc concevoir
que ces deux variations ne concernent
que la manière
dont va devoir se comporter l’être physique.
Par quelle voie, comment,
comprendra-t-il l’utilité personnelle
de s’unifier en Dieu ?
Dans quelles conditions
(celles choisies par l’être de lumière
comme terrain d’expérience)
aura-t-il le plus de chance,
d’arriver à ce but ?
Il faut donc comprendre
que le fruit de la compréhension du karma
n’est profitable qu’à l’être physique.
C’est lui qui est concerné par cette condition.
Il doit comprendre les conditions
qui sont les siennes :
le réglage karmique dont il fait l’objet.
Ce réglage est un savant dosage
entre les énergies régulées
par les chakras de l’être physique
et par ceux de l’être de lumière associé.
Une bonne communication,
entente, compréhension,
entre les deux parties
constituant l’être humain
est nécessaire.
Le bon fonctionnement
de cette circulation d’informations
entre les deux êtres constituant l’être humain
est le point de passage impératif
pour que les conseils de l’être de lumière
soient profitables à l’être physique.
En l’absence de toute révélation
par un être ayant capacité à pratiquer
l’explicitation d’un karma,
il faut aborder la compréhension du karma
comme un élément résultant
de la bonne communication
entre être physique et être de lumière
et non de la sagacité personnelle
tant cette compréhension
peut s’avérer difficile.
Il faut donc comprendre
que cette compréhension
n’est pas souvent évidente.
Seuls de rares êtres fonctionnant en symbiose
peuvent comprendre d’eux-mêmes leur karma.
Mais la compréhension du karma
peut être donnée.
Cette compréhension permet alors d’aborder
les raisons de son propre fonctionnement
et donc les raisons des circonstances
et des formes utilisées
dans lesquelles l’évolution se déroule.
Ces circonstances sont le contexte personnel
dans lequel se déroule toute existence,
Le karma peut être évident à comprendre
une fois certaines indications données,
mais, sans cela, il reste le plus souvent
aberrant et indécelable.
Dans ce dernier cas,
les conditions sont toujours mystérieuses
et les répétitions d’actes,
de circonstances semblent inéluctables.
Pour ce qui nous concerne dans ce propos,
les conditions personnelles
sont essentiellement le résultat,
des apports des énergies sélectionnées
par l’hérédité, les conditions du lieu,
l’appartenance à un ou plusieurs groupe(s)
et les conditions d’évolution de l’être de lumière.
Chacune de ces circonstances influe
par la régulation énergétique effectuée.
Le karma n’est que le résultat
de ces programmations énergétiques
concernant à la fois l’être physique
et l’être de lumière.
Ainsi cet aboutissement est-il
non seulement mode de vie,
mais encore circonstances de vie.
L’existence de deux types de karma
est une simplification
un peu arbitraire, mais efficace,
entre :
– d’une part, des karmas basés
sur des circonstances répétitives,
apparemment insurmontables,
tendant à mener une évolution
basée sur la compréhension
de ces blocages successifs
pour changer radicalement
de principe d’attitude ;
– et d’autre part,
des karmas basés sur la poursuite
d’une tendance,
en conservant le même type d’attitude,
mais en évoluant
dans une direction identique plus aboutie.
Il s’agit donc
de deux types distincts de karma
l’un devant être « surmonté »
avec changement d’attitude,
l’autre devant être poursuivi
avec amplification de la même attitude.
Il amène toujours sous diverses formes
à se retrouver dans les mêmes circonstances
plus ou moins transposées.
Ces circonstances permettent
par leur répétition de comprendre
que quelque chose réside
dans ces coïncidences,
que la nature profonde personnelle
est de se trouver confronté
à ce genre de situations
pour essayer de les « surmonter »,
pour savoir passer au-delà,
afin de pouvoir transposer
toutes ces répétitions
pour enfin comprendre
comment « surpasser »
ce qui paraît être infranchissable.
Il s’agit d’un moment particulier
qui, selon la compréhension
de la raison de cet état répétitif,
permet d’aborder celle de son « destin »
et des modes de réponses
aux circonstances répétitives
qui doivent être repensées.
Ces circonstances à franchir
sont autant le résultat
du comportement physique
et de ses conditions énergétiques,
que les circonstances choisies
par l’être de lumière
pour essayer de mener à bien
sa mission de conseil.
Ce sont les conditions matérielles
qu’il a choisies antérieurement
pour exercer son talent de guide vers Dieu.
C’est donc en surpassant ces situations
que l’on peut arriver à découvrir la notion
de pourquoi on est fait ;
ce qui permet d’aborder
de plus vastes questions
et comprendre
qu’il est important d’avoir un peu de recul
vis-à-vis de soi-même.
Cela permet d’envisager son existence
comme étant le lieu, le temps,
de se confronter à un type de situation
afin de savoir « surpasser » ces circonstances
et apprendre par ce biais
comment une évolution
vers d’autres motivations
peut être entamée.
Cela peut être le moment de comprendre
qui l’on peut devenir,
comment changer d’attitude,
comment devenir différent,
quelles sont les valeurs
que l’on a toujours refusé d’appréhender,
quelles sont les attitudes
qui peuvent avoir un sens
non pas pour soi-même
mais pour tous et toute la Création.
C’est le passage possible,
vers l’attitude prédharmique.
Il amène, lui, à comprendre
que les valeurs dharmiques
sont déjà presque pratiquées,
qu’elles ne sont pas à changer,
mais qu’elles peuvent être amplifiées.
Les conditions répétitives
sont tout autant présentes
mais ne sont pas perçues
comme des échecs, des impossibilités.
Elles sont au contraire comprises
comme un moyen d’arriver à exister
dans un rôle, humanitaire,
dans un rôle de secours, d’aide,
pour aborder non sa propre évolution
pour soi-même
mais son évolution
dans un but d’abnégation
vis-à-vis des autres.
Il s’agit presque toujours
d’un rôle social ou humanitaire
transposant dans les circonstances actuelles
ce qui pourrait être envisagé
comme l’attitude dharmique idéale
appliquée à un domaine,
à certaines circonstances.
Cette attitude est,
dans les limites d’une certaine expérimentation,
la préfiguration d’une attitude amplifiable
qui saurait alors porter encore plus de fruits.
Il faut voir dans ce type de karma
une prise en compte des objectifs dharmiques
à une échelle réduite au plus simple.
Mais cette attitude est déjà porteuse en soi
d’une qualité de comportement
pouvant amener l’être en question
à évoluer en âme guide,
sans avoir pour autant la volonté
de s’unir en Dieu,
tant cette attitude est importante
et comporte suffisamment de présage
d’une bonne évolution.
C’est là le chemin employé par tous ceux
qui, refusant toute idée de Dieu,
envisagent quand même l’existence
sous une forme proche
de la conception dharmique.
Il s’agit donc là
de ne pas modifier le sens de son attitude
mais l’intensité de son attitude.
Aucune modification de principe
n’est alors nécessaire pour évoluer ;
seule la compréhension
qu’une amplification peut être envisageable
tant dans le domaine abordé
que dans l’abord de domaines plus vastes.
Ce type de karma correspond donc
à des êtres ayant une attitude très développée
et vouant leur existence aux autres,
à une cause humanitaire
ou à la défense de la Création,
ce sont les défenseurs des bonnes causes.
Les êtres ainsi concernés sont en général
des êtres dévoués aux autres
ou à la défense de la Création
sous toutes ses formes.
Point n’est besoin de croyance en Dieu
pour avoir une attitude dharmique
qui englobe certainement plus
qu’un simple esprit voué uniquement à Dieu
sans aucune attitude tournée
vers les autres ou la Création.
Les karmas sont à comprendre
comme devant être « surpassés » ou « abondés »,
mais ils doivent toujours mener
vers une attitude volontariste d’évolution,
jamais de passivité.
C’est donc en abordant
ces deux types de karma
que l’on peut évoluer
vers une attitude dharmique
par des chemins différents.
Il faut donc comprendre
quel est son karma
pour mieux savoir comment évoluer.
Cette attitude d’évolution est essentielle
tant dans le but de vouloir s’unifier en Dieu
que dans la pratique
d’une attitude prédharmique,
aboutissement de tout karma,
de toute vie,
de toute évolution.
Il y a en fait deux types de karma,
l’un à « surmonter », à « surpasser » :
dans ce premier cas, l’on doit changer
le sens de son attitude ;
dans le second cas, l’on doit « abonder »
dans le sens de l’attitude déjà pratiquée
mais elle est à amplifier.
La compréhension du karma
auquel on est confronté est essentielle.
Il faut toujours comprendre son karma
pour bien y répondre.
Car les réponses sont différentes
selon le type du karma.
La compréhension du karma est importante,
afin de savoir modifier son attitude
en conséquence.
Le karma est devenir, évolution,
dans un contexte.
Il ne doit nullement entraîner passivité,
même si le type de karma concerné
est destiné à être « abondé »,
dans ce cas l’attitude de réponse personnelle
doit être amplifiée.
Il faut entendre par
« abonder » un karma
le comprendre, l’accepter,
aller dans son sens
et évoluer dans ce même sens,
en acceptant ses contraintes,
ses orientations générales,
en définissant des attitudes de réponse
plus vastes, amplifiées
et ce, jamais en restant passif.
L’évolution est caractéristique du devenir,
c’est-à-dire de la recherche
de la compréhension de Dieu
de la volonté de s’unir en lui
ou de la tenue d’attitude prédharmique.
Cette évolution doit se réaliser
dans le contexte du karma choisi.
Le contexte du karma choisi est,
qu’il soit à « surmonter » ou à « abonder »,
une confluence de circonstances, de capacités,
une orientation, un axe de vie.
Même si, dans le cas de karma à « surmonter »,
il s’agit de changer d’attitude de réponse,
d’un intérêt personnel
passer à un intérêt général,
vis-à-vis des autres, de la Création,
l’axe général restera identique,
c’est seulement le regard porté
qui, par exemple,
d’une exploitation de toute action,
de toute circonstance
vers un profit personnel,
devra être compris comme devant être orienté
vers un profit dirigé vers les autres.
Alors le karma aura été « surmonté ».
Il sera changé
selon les désirs établis antérieurement,
avant affiliation
en cas de « surpassement »
mais ses axes d’orientations générales
seront toujours maintenus,
seule la manière de répondre à des situations
de la même lignée sera différente.
Il faut ainsi comprendre
que la recherche de Dieu
peut se faire à travers n’importe quel contexte,
mais s’effectuera plus aisément
dans des conditions
de compréhension du chemin à suivre.
Il faut donc établir une relation
entre les conditions de vie
et la quête de Dieu à effectuer
à travers ces circonstances.
La position de compréhension
étant assortie d’attitude prédharmique,
il s’ensuit que l’évolution dans un karma,
même à « abonder » doit comporter
une évolution de compréhension et d’attitude.
Il ne s’agit donc nullement de passivité
même dans le cas de karma à « abonder ».
Quant au karma à « surmonter »,
la compréhension du contexte,
des circonstances,
des habitudes personnelles,
doit entraîner une modification
de comportement
amenant à transcender
les comportements habituels,
pour les « surpasser »
et pouvoir ainsi arriver
à ne plus être tributaire
de ces circonstances répétées
mais, au contraire,
à savoir leur donner
réponse favorable
par le fait d’avoir changé
son attitude personnelle vis-à-vis de soi,
en une attitude
vis-à-vis des autres, de la Création.
Les karmas ainsi « surmontés »
en cours d’existence
entraînent une modification des régulations
des chakras afin de répondre
à un nouveau karma,
du même axe intentionnel,
mais comportant des améliorations,
dont la nature avait été envisagée
avant affiliation
et dont les âmes guides
installent alors le principe.
Les différents karmas tendent tous
vers un même aboutissement
vers un même profil d’action.
Le but est de comprendre
que toute attitude,
si elle peut mener
vers une compréhension personnelle
de l’importance de s’unir en Dieu,
doit s’amplifier également
de la compréhension
que toute action, toute existence
est, en fait, un élément d’une chaîne
comportant toute la Création,
que toute action est donc à envisager
dans sa relation utile, favorable, améliorable
avec la Création.
Il s’agit donc de comprendre
qu’une attitude individualiste
désirant s’unir en Dieu
sans aucune ouverture vers les autres,
sans aucune intention vers la Création
est une aberration, un non-sens
et n’est pas sûre d’être valorisée
par la création d’une âme guide.
De nombreux exemples nous sont connus
de dévotion, de consécration,
sans attitude tournée vers les autres
ou la Création
qui n’ont nullement abouti
à la constitution d’une âme guide.
L’être de lumière correspondant
devant reprendre alors son cycle d’incarnation
pour améliorer ses prestations.
La finalité du karma
est donc d’amener chaque être
à envisager d’avoir une attitude
tournée vers les autres, vers la Création
quelles que soient les circonstances,
les conditions des karmas envisagés.
Il faut aborder la finalité des karmas
comme étant de s’ouvrir
à des actions prédharmiques
instituant en chacun une attitude explicite
démonstratrice de la volonté d’agir
pour aider les autres,
améliorer les conditions de la Création
au lieu de la détruire.
Il faut voir là
une caractéristique certaine du karma.
Toutes les organisations karmiques
débouchent sur des situations
dont la nécessaire compréhension,
pour lever répétition et systématisme,
aboutit inéluctablement
en la prise d’une attitude
établissant non pas soi-même comme finalité
mais toute la Création et les autres
comme objectif de toute action.
Il s’agit donc de comprendre
que toute action doit être tournée
vers le secours, l’aide et l’amour des autres.
Aucun karma n’est institué
pour aboutir à une prise de conscience
que le but de toute existence
est sa propre satisfaction personnelle.
Il faut admettre
que toute action karmique est ainsi tournée
vers la préservation de l’expérience actuelle,
vers le respect de la Création et des autres.
Il faut admettre
que toute action ayant pour but
de thésauriser, de satisfaire son propre ego,
au détriment des autres
est le meilleur moyen de ne pas aboutir
à lever les conditions répétitives d’échec,
d’angoisse, de désespoir.
Ces répétitions d’échecs sont, d’ailleurs,
la construction perceptible du karma.
Toute action dont le résultat vous apparaît
comme reproduisant
des sortes d’enchaînements inéluctables
dont la nature peut changer de circonstances,
mais dont l’esprit reste identique,
toute organisation dans ce sens
vous devient alors décelable et compréhensible.
Ces organisations
vous sont données
comme points de repère
pour déceler
quelle est votre attitude habituelle,
pour comprendre
quelle est votre méthode d’organisation.
Ces organisations
sont autant d’examens possibles
de vos tendances à ne construire
votre ligne de conduite
que dans un but généralement égoïste,
sans aucune approche
prenant en compte les autres et votre contexte.
Nous ne pouvons
que vous indiquer de bien observer
en quoi ces situations répétitives
peuvent se transformer,
se changer en des situations nouvelles,
qui comporteront, elles aussi, à leur tour,
d’autres répétitions de situations
mais d’un niveau différent
vous amenant ainsi par paliers successifs
vers des attitudes
plus portées à l’écoute des autres
et de votre contexte.
Ces multiples variations
sont autant de contraintes
définies par votre être physique,
dans son héritage de capacités,
que par votre être de lumière
et ses propres choix intentionnels.
Il n’est pas de karma
que l’on ne puisse améliorer
par la compréhension d’une attitude
portée à l’écoute et l’attention des autres
ou par considération donnée à la Création.
C’est en cela
que cette organisation karmique
a pour seul but
de vous faire tendre vers une attitude
plus ouverte envers les autres et la Création.
Il n’est pas d’exemple où,
même sans compréhension précise de karma,
l’attitude de s’ouvrir aux autres,
vers la compréhension de l’importance
de préserver la Création,
n’a pas su porter ses fruits
en transformant les sentiments
de répétition d’échecs,
caractéristiques du fonctionnement du karma.
Il vous est donc conseillé,
dans le cas où vous auriez
une certaine conscience
de répétition de situations
toujours semblables,
entraînant un sentiment d’échec répétitif
toujours identique
dans des situations diverses et renouvelées,
d’essayer de voir
si une attitude plus tournée
vers une solidarité envers les autres
et votre contexte ambiant pour le préserver
ne suffit pas à vous libérer
de ce sentiment d’incapacité
à ne savoir faire autre chose
que toujours échouer de la même manière.
C’est par de telles tentatives
que l’on arrive à modifier son karma
et à se libérer des contraintes en découlant.
Une reconstruction de karma
sera alors effectuée
et amènera un lot de contraintes nouvelles
à « surmonter ».
Mais de reconstruction en reconstruction
votre sensibilité à l’égard des autres
et de la Création
vous permettra de mieux vous situer,
vous-même,
dans ce contexte,
avec une meilleure compréhension
de votre rôle
et de son importance.
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"les chakras"
LA continuité
avant, pendant, après, la vie
en cette phase terrestre
Dévoilée
selon les messages recueillis par "le transcripteur"
auprès de ses âmes guides et du premier Ange AmouR
